Reprendre le lead, se mettre en capacité d’agir pour demain

La crise sanitaire a imposé des transformations dans les organisations. Les décideurs en ont-ils bien pris la mesure ? Comment peuvent-ils reprendre le lead ?…et si la RSE était la bonne réponse ?
Avez-vous pris la mesure des transformations subies dans votre organisation par cette crise ?

Quand la finance bleu-blanc-rouge passera-t-elle au vert ?

Les engagements des banques françaises pour lutter contre le changement climatique sont encore bien timides.
Ce 29 octobre 2020 s’est tenu au Palais Brongniard, le 6ème Climate Finance Day.
Les principaux acteurs financiers (Crédit Agricole, SFIL, Société Générale, Caisse des Dépôts et Consignations, Banque de France…) ont présentés leurs actions et leurs engagements pour lutter contre le changement climatique, qui impacte considérablement leurs activités et leurs modèles, en termes de réévalutation des risques et des garanties, par exemple.

La transition écolonomique est en marche

Il faut cesser d’opposer économie et écologie : le développement durable représente une formidable opportunité gagnante-gagnante qui mixe les deux.
En plein débat (critique) sur les moyens et la méthode des pouvoirs publics pour impulser franchement la transition “écolonomique*” avec son plan de relance actuel, pour tous ceux qui continuent d’opposer économie et écologie, je rappelle cette infograhie de l’ADEME qui démontre que cette transition nécessaire est possible, qu’elle est (vraiment) en marche, mais qu’il reste encore beaucoup à faire pour produire et consommer autrement… en particulier dans le secteur de la construction.

La RSE a le vent en poupe !

Subordonner la RSE aux RH, c’est prendre d’emblée le parti de limiter les ambitions d’une telle démarche au risque de la « planter ».
La rentrée 2020 s’annonce bien : le marché de l’emploi frémissant fait une belle place aux postes en RSE, ce qui confirme que cette crise Covid19 aura eu le mérite d’une prise de conscience du monde économique sur sa redevabilité en matière environnementale et sociétale et, je l’espère, d’accélérer les choses en matière de développement durable…

Le capitalisme vert existe-t-il ?

La sobriété : cela veut dire que nous devons produire et consommer autrement.
Ce dessin paru dans les réseaux sociaux m’a touché.
Le capitalisme vert existe-t-il ? Autrement dit : peut-on consommer et produire autrement ?
En qualité de consultante RSE, bien sûr, je le pense ! C’est tout l’objet de ma mission que d’accompagner les entreprises dans la transition de leur modèle économique vers plus de respect de l’environnement et vers la prise en compte des enjeux sociaux, comme le préconise l’ONU dans les 17 objectifs de développement durable.