CSRD : En 2026, PME et ETI plongent dans le grand bain du reporting de durabilité… mais à quel prix ?
En 2026, les PME et ETI devront produire leur premier rapport de durabilité selon la CSRD. Entre exigences complexes et coûts élevés, découvrez comment une démarche RSE pragmatique peut transformer cette obligation en levier de durabilité et de compétitivité.
CSRD : de la RSE à la durabilité, quels impacts pour les PME ?
Nous sommes confrontés à une mutation significative dans le domaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) : place désormais à la durabilité !
En RSE, valeurs et actions convergent pour faire de la marque employeur un puissant levier d’attractivité.
Si le reporting est la partie visible de l’iceberg, les DRH incarnent la dimension humaine de la RSE en mobilisant les équipes autour des valeurs de durabilité, d’inclusion et de bien-être. Ils veillent à ce que la RSE ne soit pas une simple obligation de conformité, mais un levier stratégique d’attractivité et de résilience.
CSE et RSE : l’opportunité d’un dialogue social constructif
Se saisir de la RSE est une formidable opportunité de sortir d’un dialogue social institutionnel conflictuel ou revendicatif pour challenger les Directions sur leurs engagements en matière de développement durable.
PME et RSE : la (petite) taille est un avantage !
En matière de RSE, tout ce qui est petit est mignon. En d’autres termes, la taille humaine des TPE/PME est un atout pour leur transformation vers un modèle durable.
Numérique responsable : pour le meilleur en évitant le pire
Pour les entreprises engagées dans une démarche RSE, le numérique est à la fois un formidable moyen de réduire leur impact environnemental mais il est aussi une grande source de pollution.
Pourquoi la décarbonation est-elle urgente ?
Le réchauffement climatique constaté met en péril notre évolution : décarboner de notre économie devient une priorité qui se répercute sur les entreprises.
Le dérèglement climatique est anthropique
Nous vivons dans l’ère de l’anthropocène[1] : les activités humaines modifient l’écosystème terrestre de manière si significative que les géologues, après de longs débats scientifiques, qualifient notre époque de disruptive et d’incertaine.
RSE : les entreprises françaises championnes d’une compétition mondiale en devenir
Les entreprises françaises confortent leur 3ème place sur le podium des pays les plus engagés dans la RSE mais cette compétition mondiale ne fait que commencer.
La France préside l’Union Européenne pour les 6 prochains mois et je lis partout dans la presse spécialisée que les entreprises françaises sont les meilleures en termes de RSE.
L’éco-anxiété, ce nouveau trouble (fête) en entreprise
L’Eco-anxiété allonge la liste des RPS, risques psycho-sociaux et invite les entreprises à lancer leur démarche RSE pour éviter les injonctions contradictoires qui en sont souvent à l’origine.
Définir sa raison d’être n’est si facile
Je constate qu’il n’est pas si aisé, même pour un acteur de l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) à but social louable par essence, de trouver un territoire de différenciation qui le définit spécifiquement, où il est seul et légitime et qui fédère ses parties prenantes.
Je remarque aussi beaucoup de confusion entre la raison d’être et la signature de communication ou la raison d’être et la raison sociale qui figure sur les statuts de l’entreprise.